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Nous vous proposons dans cette page d'aborder certains aspect de la vie avec un Malamute.
Encore une fois, nous ne sommes pas des spécialistes et notre expérience bien que grandissante est encore réduite.
Gardez donc à l'esprit que ce sont des expériences personnelles dont vous pourrez vous inspirer, plus que des conseils ou des règles d'éducation.

Cette page sera complétée au fil de notre inspiration ou des questions qui nous seront posées.


- Se promener avec un Malamute non tenu en laisse
- La confiance
- Où dort Ilouliak ?
- Ilouliak et Taïga en voiture
- Dépistage des dysplasies
- Canoe camping avec des Malamutes


Se promener avec un Malamute non tenu en laisse :

Lors de nos recherches sur cette race, avant donc d’avoir Ilouliak, la plupart des avis recueillis indiquaient que, compte tenu de leur caractère et de leur faible obéissance, ces chiens nécessitaient d’être systématiquement tenus en laisse.
Ceci allait contre nos attentes et je crois que sans quelques rares témoignages allant dans l’autre sens, nous n’aurions pas adopté un Malamute.

Nous n’avons pas pris à la légère les mises en garde, mais si certains y parvenaient, il n’y avait pas de raison pour que ce ne soit pas le cas avec Ilouliak.
Marche au pied

Il a donc été habitué ainsi dès le début et cet apprentissage s’est déroulé de façon toute naturelle.

Nous n’avons pas appliqué de recette mais simplement utilisé des principes d’éducation qui reposent sur la loyauté, la complicité, la connaissance mutuelle ainsi que le plaisir d’être et d’évoluer ensemble.

Les Malamutes ont besoin de se situer dans la hiérarchie. Il leur faut donc en face d’eux quelqu’un qui a du répondant, ce qui n’exclut pas l’affection et les câlins.

Ilouliak sait qui est le chef de meute et s’il l’oublie ou fait mine de, il a droit à sa piqûre de rappel : Si la voix ne suffit pas à lui faire adopter une attitude de soumission, je le prends par la peau du coup, le couche sur le côté et l’immobilise au sol. Vu de l’extérieur, ça peut paraître violent : les premières fois, il s’est rebellé mais, utilisé avec parcimonie et à bon escient, c’est rapidement devenu un code parfaitement compris et accepté par Ilouliak.

Comme dans beaucoup de domaines, la connaissance des capacités et des limites de chacun est primordiale.

Par sécurité, hormis de rares exceptions qui tiennent lieu d’exercice, nous le reprenons en laisse à l’approche d’un troupeau, d’une route ou d’un village (en terrain inconnu, le GPS avec cartographie est d’une aide précieuse).

Ilouliak a appris et sait maintenant de façon assez précise, avant notre intervention si ce qu’il a fait est une bêtise ou pas.
Nous savons ce que nous pouvons attendre de lui et avons une bonne idée de ses réactions. Ceci nous permet par exemple de déterminer les circonstances où nous devons accroître notre vigilance.
Nous commençons à bien décrypter ses postures, ses attitudes et ses comportements en temps réel, ce qui nous permet d’adapter les nôtres.
Par exemple, si dans une situation donnée, nous sentons que le rappel (au sens reviens ou simplement stop) ne fonctionne pas ou plus, si nous avons perdu la main, inutile d’insister ou de paniquer. Nous gérons la situation différemment en continuant à lui parler, à l’assurer de notre présence et éventuellement de notre détermination.
Le parallèle pourra paraître douteux, mais c’est un peu comme en vtt : il arrive des moments où il ne faut plus essayer d’éviter la chute, mais plutôt la gérer pour la minimiser.
Dans tous les cas, lorsqu’il réagit bien, il ne faut pas oublier de le féliciter et souvent (mais pas systématiquement) de le récompenser.

Lors des ballades quasiment quotidiennes, nous faisons quelques exercices d’obéissance (stop, rappel, marche au pied).
Nous en profitons pour renforcer son apprentissage des ordres de changement de direction. Je ne sais pour quelle raison, j’ai presque plus de plaisir à voir un "Gauche" parfaitement exécuté plutôt qu’un "Rappel". Certainement parce que j’associe le premier à de l’intelligence et l’autre à de la soumission.

Pour le stimuler à rester proche de nous, nous jouons sur la peur (relative) qu’ont les chiens de perdre leur maître.
Par exemple, si à un croisement nous ne donnons pas d’ordre et qu’il prend l’initiative de l’itinéraire sans s’inquiéter de nos intentions, nous prenons une autre direction que la sienne, le forçant à nous retrouver ou à répondre à l’ordre "Ici" ».
Dans le même but, nous jouons parfois à nous cacher derrière des arbres. Quel plaisir quand neuf fois sur dix, il revient au galop. Eh oui ! Une fois sur dix, nous sommes quittes pour nous égosiller quelques minutes à le rappeler !!!

C’est ça un Malamute. On ne peut jamais être sûr à cent pour cent de son comportement ou de sa réaction. Le tout est d’en être conscient et d’en assumer les conséquences.

Mais quel plaisir (et parfois quel confort) de le voir évoluer librement. C’est le signe d’une confiance réciproque que j’aborderai dans l'article suivant.


La confiance :

Je fais une distinction assez nette entre obéissance (soumission au maître) et confiance (sentiment positif envers le maître).

- Il peut y avoir obéissance sans confiance. C'est le résultat d'une éducation basée sur la soumission. Ce n'est pas celle que nous avons privilégiée, même si nous y avons parfois recours puisque les Malamutes sont des chiens de meute ayant besoin de se positionner dans la hiérarchie.

- La confiance est par contre vecteur d'obéissance. Elle se manifeste chez Ilouliak dans des situations de danger potentiel pour lui ou pour nous; Ou bien lors de certaines situations nouvelles pour lui.
Par exemple, lorsque l'on sort des sentiers et que la progression n'est pas aisée (végétation et relief), il se cale quasiment spontanément derrière moi et suit tous mes zigzags.
Si je me retourne et dis "Non", il fait demi-tour et rebrousse chemin.
Lorsque sur une randonnée il y a un peu d'escalade nécessitant notre intervention, il obéit parfaitement aux ordres : "Pas bouger", le temps que l'on trouve la meilleure solution et qu'on se mette en sécurité pour faire une parade ou l'aider, puis "Vas-y" pour la reprise de la progression.
Lorsqu'il se rapproche trop d'une barre rocheuse, un "Non, ici" suffisent à le faire s'éloigner du danger et à revenir vers moi.
Idem lors d'un portage canoë s'il s'aventure sur le seuil en béton bien glissant d'un barrage présentant un danger en cas de glissade.

J'ai la conviction qu'il distingue dans ma voix et mes attitudes des nuances que je n'arrive pas à simuler pour justement obtenir l'obéissance "dans le classique".

Je vais détailler une illustration de confiance qui s'est manifestée lors d'une randonnée sur la neige : Nous parvenons au col sous le pic de Gleize avec l’idée de redescendre vers Chaudun. La pente et les conditions de neige me paraissent un peu délicates mais nous tentons le coup. Pour éviter qu’Ilouliak, libre à la montée, ne passe n’importe où, je fais le choix de le prendre au harnais avec la longe munie d’un amortisseur.
Alors que nous progressons en traversée dans une pente assez raide, Ilou rencontre une plaque de neige très dure où ses griffes n'arrivent pas à pénétrer. Il part en glissade sur les fesses, tourne la tête et me regarde. Je suis encore sur la neige souple et je peux donc stopper sa glissade. Un "Pas bouger" le temps de renforcer mes appuis et un "Doucement, viens" parfaitement obéis nous sortent de cette situation délicate. Ici, pas vraiment de confiance puisqu'il n'avait pas le choix. Mais comme je suis têtu comme un Malamute, je décide de ne pas rebrousser chemin. Je traverse cette plaque le premier en cassant la neige dure à grands coups de talons, puis donne l'ordre à Ilou de me suivre, ce qu'il fait sans hésiter en utilisant ma trace.
A partir de la, il y a confiance. Ensuite, je le refais passer devant et en étant plus vigilant, je peux mieux décrypter la surface ou détecter une première patte qui n'accroche pas et ordonner des "Droite" ou "Gauche" afin qu'il contourne les plaques dures.
Sans sa confiance envers moi, et l'obéissance qui en a découlée, il ne nous aurait pas été possible de continuer.

J'avoue volontiers que cette confiance et cette complicité m'apportent énormément de plaisir.

Et puis, chez l'animal, comme chez l'humain, je préfère 1000 fois la confiance à la soumission.

Si les Malamutes étaient des chiens très obéissants, nous ne pourrions certainement pas faire cette différence...


Où dort Ilouliak ?

A la maison :
Avant l'arrivée d'Ilouliak, nous avions convenu d'un certain nombre de principes et de règles.
Nous ne voulions pas qu'il dorme dans la maison, l'enclos et la niche ont donc été prévus à cet effet.
Hélas, le premier soir, monsieur s'est mis à pleurer. Après avoir tenté de le rassurer et persisté un bon moment, nous avons dû nous résigner à réviser nos plans. Il a donc passé les premières nuits dans le garage. Nous avons refait plusieurs tentatives sans succès. Pour tenter de l'habituer, j'ai même bivouaqué avec lui dans l'enclos. Mais le lendemain, ce fût à nouveau des pleurs...
Ne serait ce que pour le voisinage, c'était impossible de ne pas céder.
Je crois que cela a duré un bon mois, puis du jour au lendemain il a finalement accepté de dormir dans l'enclos.

En bivouac :
Ilouliak dort à la stake.
Au début, je faisais des amarrages supers costauds.
Petit à petit, je me suis rendu compte que c'était inutile, sauf cas particuliers de bivouac non loin de troupeaux : c'est quand même un Malamute !!!

J'utilise des sangles passées autour d'un arbre, d'un poteau, d'un buisson ou d'un rocher.
L'hiver, les skis plantés dans la neige font l'affaire.

J'ai fait plusieurs fois l'expérience suivante : une extrémité solide et à l'autre une simple sardine.
Le matin, la sardine était toujours en terre.
Je crois qu'il a compris la fonction, c'est un peu comme la clôture électrique à la maison que j'ai branchée seulement quelques mois.

Lors des bivouacs en pleine nature, nous l'attachons au moment de nous coucher et le détachons dès le réveil. Il s'éloigne un peu pour vider sa vessie (il ne fait jamais au stake) et revient rapidement pour ne pas rater sa petite tartine. Il y a même un peu de beurre si la maîtresse est présente !!!

Certains peuvent se demander si nous avons envisagé de le faire dormir dans la tente. Par principe, c'est non. De toute façon, Ilouliak ne semble pas apprécier : une nuit où il s'est mis à pleuvoir, on a déplacé le stake pour qu'il puisse être sous l'auvent, Monsieur a fait ce qu'il a pu pour ramper sous la tente et se caler à l'extérieur...

A l'hôtel, en gîte, dans la famille, chez des amis :
Chaque fois que c'est possible, il dort dehors au stake. La condition est qu'il n'y ait pas de risque qu'un chien errant vienne lui rendre visite.
Sinon c'est garage, grange ou remise. Nous faisons attention qu'il n'y ait pas de produits dangereux et installons éventuellement le stake.
Chez ma mère qui est en appartement : c'est le balcon.
A l'hôtel, nous n'avons pas le choix, c'est la chambre. Inutile de préciser que le lit est interdit.

Lorsque nous arrivons dans un lieu nouveau, à l’aide des "NON", nous lui signifions son territoire. Sa petite couverture posée au sol l'aide à comprendre que c'est l'endroit où nous souhaitons qu'il s'allonge.
Côté besoins, pas de problème, il est capable de se retenir toute une nuit et sait se faire comprendre quand il a envie de sortir.

En fait Ilouliak est très facile, il n'a jamais fait de dégradation dans notre maison et savons qu'il n'en fera pas ailleurs. (Il a déjà dormi dans un local à chaussures sans en toucher une seule).

Comme tous les Malamutes, il est discret et n'aboie pas. Son seul défaut est de laisser des poils partout…


Ilouliak et Taïga en voiture :

Ilouliak a toujours été très calme et même s'il ne fait pas preuve d'un grand enthousiasme lorsqu'on lui demande de monter dans le coffre, il n'a jamais posé de problème.

L'arrivée de Taïga n'a pas perturbé sa quiétude et nos chiens ont tout de suite très bien cohabité dans le coffre. Cependant, pour les trajets hors proximité, nous avons pensé qu'un petit aménagement apporterait un plus en terme de sécurité et de confort.


Depuis longtemps, Ilouliak a pris l'habitude de se coller le museau sur le repose tête et de passer ainsi la majeure partie du voyage. Est-ce par mimétisme ou parce que la position permet de surveiller ce qui se passe, toujours est-il que Taïga en fait de même, à ceci près, qu'elle éprouve parfois le besoin de s'allonger pour dormir.

L'aménagement, facilement amovible, est composé de deux éléments :
- Une barre transversale pour éviter que les chiens traversent l'habitacle en cas de décélération brutale.
- Une séparation longitudinale grillagée. (il faut quand même qu'ils puissent se voir )
Elle permet de séparer le coffre en deux parties égales ou non et pour l'instant Ilouliak a le droit à une part plus importante !
Ce réglage permet également d'envisager de mettre les chiens ensemble et d'utiliser l'autre compartiment pour des bagages si la banquette arrière ne suffit pas.

Me voilà bien calée. Chacun sa place.

L'aménagement voulu très simple, laisse la voie libre aux chiens dès que le hayon est levé. Notre vigilance ainsi qu'une éducation et des consignes chaques fois répétées font l'affaire.

"Non les chiens, on attend."
Taïga un peu dissipée demande plus de vigilance !
"Aller, on y va".
Elle est aussi un peu moins réactive à l'autorisation !

Lors de longs voyages, nos deux Malamutes se font oublier. Ils ne manifestent pas d'impatience et ne nécessitent pas d'autres poses que celles qui nous sont nécessaires.


Dépistage des dysplasies :

Nous ne savons pas encore si nous ferons se reproduire Taïga et Ilouliak mais il est vrai que nous serions bien heureux qu'Ilou ait une descendance, avec Taïga ou avec une autre femelle.
Que ce soit donc pour profiter d'une opportunité ou pour anticiper, nous avons souhaité nous conformer aux directives d’élevage édictées par l'Alaskan Malamute Club de France. Ces directives ont été élaborées en vue de la protection de la santé des reproducteurs et de leur progéniture.

Pour commencer, nous avons décidé de faire radiographier Ilouliak en vue du dépistage de la dysplasie coxo-fémorale (D.C.F.), communément appelée dysplasie de la hanche.

La D.C.F. est un trouble du développement de la hanche qui entraîne une instabilité de l’articulation, et touche principalement les chiens de races grandes et géantes. L’origine génétique de cette affection a été prouvée. Cependant le mécanisme exact de la transmission n’est pas encore connu.
Dans des lignées de chiens prédisposés, une alimentation inappropriée pendant la croissance du chiot (trop énergétique et entraînant un surpoids, ou un excès de calcium) ou un exercice physique excessif accroissent la proportion de chiens dysplasiques ainsi que la gravité de l’affection qui entraîne dans la quasi totalité des cas le développement d’une arthrose de la hanche.

La dysplasie du coude existe également. Elle a la particularité de se traduire par des signes cliniques plus précoces. Elle est également moins fréquente et donc moins connue chez les Malamutes.
L'AMCF n'émet d'ailleurs aucune recommandation au sujet de son dépistage.
Pour nous, impossible de l'ignorer puisque, pour la première fois, les éleveurs respectifs de Taïga et d'Ilouliak y ont récemment été confrontés.

Les radiographies pour le dépistage devant se réaliser sous anesthésie générale, nous nous sommes posés la question de savoir s'il était opportun de profiter de cette l'anesthésie pour effectuer en plus du cliché de la hanche (obligatoire), ceux des coudes (facultatif).

Les premières informations que nous avons pu recueillir concernant le dépistage de la dysplasie du coude nous ont d'abord laissé penser qu'Ilouliak était déjà trop âgé (3,5 ans) pour que ses radios puissent être convenablement interprétées. De plus, nous pensions que si les signes de cette affection ne s'étaient pas encore manifestés, c’est qu’il n'était pas atteint.

D'autres avis, dont celui du professeur Genevois (lecteur officiel de l'AMCF) allant dans l'autre sens, nous avons finalement décidé de faire réaliser l'ensemble des clichés. Un pour la hanche et six pour les coudes ce qui entraîne un coût passablement plus élevé. (environ 100€ l'anesthésie et la hanche et 200€ pour l'ensemble)
Ce n'est pas une somme négligeable, mais comme toujours, il faut relativiser : il nous arrive de devoir mettre plus dans l'entretien ou la réparation de notre voiture bien que nous y attachions nettement moins d'importance qu'à nos chiens.

Rendez-vous est pris chez notre vétérinaire le 12 novembre à 8h30. Ilouliak doit être à jeun (nourriture et eau) depuis la veille au soir.

Comme je suis de permanence, c’est Sylvie qui emmène Ilouliak.
Le vétérinaire l'installe sur la table et lui rase une zone sur une patte avant afin de lui faire l'intraveineuse destinée à l'endormir. Habituellement, lors de vaccins annuels, Ilouliak reste impassible. Mais cette fois, au moment de la piqûre, il sursaute et oblige le vétérinaire à interrompre l'injection.


Sylvie et une assistante appelée à la rescousse viennent le maintenir. L'opération est renouvelée sur l'autre patte et en quelques secondes, il s'endort. Les trois personnes présentes n'ont pas été de trop pour l'installer sur le côté.
A partir de ce moment, Sylvie a dû quitter le cabinet laissant Ilouliak pour la journée.
C'est vers 17 heures qu'elle le récupère ; il est très content de la revoir. Les assistantes expliquent à Sylvie qu'Ilouliak a beaucoup vomi à son réveil : des pommes de terre que nous ne lui avons jamais données ! Ceci reste un mystère comme nous en réserve parfois les Malamutes…

Il a fallu un petit moment pour obtenir les radios imprimées sur support transparent puisque les images sur CD Rom effectuées avec l'équipement de notre vétérinaire ne sont pas acceptées pour le dépistage officiel.

Les radios expédiées au professeur Genevois le 7 décembre, nous sont revenues interprétées le 28.

C'est avec plaisir que nous avons découvert les résultats :
Ilouliak ne présente aucun signe de dysplasie coxo-fémorale : qualification internationale A ,
et pour les coudes, aucune dysplasie n'est radiologiquement visible : qualification internationale ED0.

La prochaine étape sera le dépistage des tares oculaires. Comme cet examen n'est valide qu'un an, nous le feront le moment venu si Ilouliak nous est demandé pour une saillie ou si nous décidons d'une reproduction avec Taïga.


Etant scientifique de formation, j’aime comprendre "le pourquoi du comment" avant de suivre une recommandation (voir même une obligation). Avant donc de faire effectuer ces dépistages, j’ai discuté avec des éleveurs et des amis et évidemment, j’ai pêché des informations sur Internet. Des thèses traitant de ce sujet y sont disponibles.
J’ai réalisé deux documents qu’il vous est possible de télécharger.
N’ayant pas de compétence particulière dans le domaine, je précise qu’il s’agit simplement d’une synthèse de mes lectures.



Dernière modification le 21/04/2010

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